Quel plaisir de se lever tôt, d’admirer ce qui nous entoure et de se coucher avec des images plein la tête, quel que soit l’endroit où on se trouve sur notre bonne vieille terre..






















Zigzags à Valloire


Quel plaisir de se lever tôt, d’admirer ce qui nous entoure et de se coucher avec des images plein la tête, quel que soit l’endroit où on se trouve sur notre bonne vieille terre..

























Vue de mon bureau à l’aube
Être né quelque part, aller à la découverte d’autres espaces, revenir sur ses terres d’adoption et les découvrir sous des lieux différents à différentes heures de la journée…










On juge qu’on est en train de faire un cliché intéressant, au moment où on presse le déclencheur de son appareil photo. On peut s’en satisfaire ou l’améliorer ou lui donner une autre histoire par le post-traitement…








(Comme dit mon Ami Michel Audiard)
Qu’ils soient petits ou gros, visibles ou pas, curieux ou fuyants, ils partagent notre vie, il faut les chercher, essayer de les approcher, les observer, les adopter, les immortaliser, leur seule défense est souvent la fuite.





























On se séduit, on est détestable, on s’émeut, on se réjouit, en est volubile ou taciturne, hauts en couleurs ou terne, on est riche ou pauvre, noir, jaune, blanc, gris, rouge, on a tous droit à une vie paisible, pour cela on doit faire preuve de tolérance, se respecter, où que l’on vive, qui que l’on soit.












L’erg Chebbi (عرق الشبي, en arabe), plus connu sous le nom de dunes de Merzouga (ⵎⴰⵔⵣⵓⴳⴰ, en berbère, مرزوقة, en arabe), est l’un des deux grands ergs du Sahara au Maroc. Ses spectaculaires dunes dorées dont certaines culminent à 150 m de hauteur, figurent parmi les plus remarquables du Sahara. Elles s’étirent à perte de vue entre la célèbre vallée du Ziz et la frontière algérienne













Sauvages ou cultivées, odorantes ou pas, douces ou agressives, elles embellissent notre quotidien, porteuses de symboles, on se les offre, elles partagent nos évènements heureux ou malheureux, on aimerait qu’elles soient éternelles.


















L’hiver est parfois trop tardif.




On nomme par blanc tout panachage de longueurs d’onde que l’œil ne peut distinguer. L’œil n’est en effet sensible qu’à trois pics de longueur d’onde à partir desquelles il donne à la conscience une information de couleur.
On nomme noir, l’absence de couleur, soit tout rayonnement visible reçu par l’œil.
On nomme gris, les couleurs jugées comme intermédiaires. Il y a en fait un très grand nombre de gris de même luminosité et de teinte distincte selon la température de couleurs considérée pour le blanc de référence. (Wikipédia)











